Vous venez d’être admis à l’Icam et nous vous en félicitons. Si vous souhaitez avoir recours à un prêt pour financer vos études, vous avez plusieurs possibilités :
1/ Solliciter un Prêt Etudiant Garanti par l’Etat (PEGE)
Vous devez demander la garantie de la Banque Publique d’Investissement qui se portera caution pour vous vis-à-vis des banques : Cliquez ici.
Une fois l’accord obtenu, solliciter une banque commerciale partenaire de ce dispositif pour demander la mise en place du prêt. La plupart des grandes banques françaises distribuent ces prêts aidés qui peuvent aller jusqu’à 20 000 euros. Beaucoup de banques font des PEGE à taux zéro, avec des conditions d’éligibilité variant suivant les établissements.
Nous vous invitons à vous renseigner en priorité sur ce dispositif très intéressant et à le faire
rapidement car l’enveloppe nationale de ces prêts est limitée.
2/ Solliciter un prêt étudiant « classique » auprès d’une banque commerciale.
Ces prêts sont à taux fixe et se remboursent généralement 5 ans après la sortie des études.
Les banques consentent des efforts particuliers de tarification aux étudiants, qui sont autant
de potentiels futurs clients.
N’hésitez donc pas à comparer les conditions financières des différents établissements et à vous renseigner auprès des Icam, qui peuvent avoir des partenariats privilégiés avec des banques locales.
3/ Les prêts d’honneur de la Fondation Féron-Vrau
Il s’agit d’une aide mise en place par la Fondation pour organiser une solidarité entre les
générations d’étudiants et permettre à tous ceux qui en ont la capacité de poursuivre leurs
études à l’Icam.
Ces prêts sont donc proposés à tous les étudiants qui en font la demande, sans conditions de ressources. Ils sont versés aux écoles en réduction des frais de scolarité, et diffèrent en cela des prêts étudiants bancaires, sauf pour le cas spécifique de l’Experiment où le prêt est versé directement à l’étudiant.
S’ils sont sans intérêts, leur capital est actualisé sur la base d’un indice Insee de l’enseignement supérieur corrélé avec celui de l’inflation, pour permettre de pérenniser le dispositif.
De fait, ils fonctionnent donc comme des prêts à taux variable et peuvent être considérés comme plus risqués que les prêts étudiants à taux fixe, a fortiori avec les PEGE, particulièrement en période de forte inflation.
A titre d’exemple, l’indice sur lequel est calculé l’actualisation du capital a progressé de 3.4 % entre 2022 et 2023.
Des conditions financières particulières sont prévues pour les étudiants boursiers et les étudiants de familles modestes qui rencontrent des difficultés à se faire octroyer des prêts bancaires.
Vous pourrez trouver toutes informations utiles sur cette page ou auprès de votre contact à l’Icam.